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Photo du jour : On the road

Et le gagnant de la précédente photo du jour est polobabou qui a en effet soulevé un problème récurrent, à savoir : Que l’on ne comprend rien quand on débarque sur la photo du jour. ^^

Félicitations polobabou !

J’élabore d’ailleurs une stratégie pour pallier à cela, laissez-moi un peu de temps car je pars de loin ! 😀

Je me sens comme cet homme qui a une longue route à faire !

photo du jour

Question:

Où va donc cette homme ?

A propos de moi

Jackie Chun

7 commentaires

  • Il sort de son avocat pour son divore et vu qu’il c’est fais plumler tout ce qu’il avait, chemise, pantalon et sous vétements inclus, il va achetez des vétements, car vu la temerature exterieure il ne dois y avoir que la route qui doit etre longue et pas le reste. LOL

    • Ou alors c’est comme l’artiste qui cour nu pour evacuer son stress, ou comme les parents chinois qui ont mis leur enfant nu dans la neige pour l’endurcir, mais à mon avis a part les doigts de pied y’as pas grand chose qui va durcir lol

      • Ou alors il est partie de chez sa maitresse ou d’un bordel trés preciptement et il as pas eu le temps de prendre ces vetements.

  • Avec ce froid, il doit avoir un tout petit zguegue.
    Dite lui de courrir comme ça il entrechoquera ses deux boules ret les frictions le réchauffera.

  • C’est le GEEK qui à voulu faire schenzen HD 5 au bordel et madame GEEK l’as grillé, du coup elle l’as punis, elle le suit en voiture et ce’est elle qui prend les Photos.

  • Bein quoi ? qu’est ce qui vous étonne ? ^^
    C’est le Cap d’agde chinois, et le gars rentre à son bungalow…. sauf qu’il a pas compris que ca se passe l’été… bein ouai des mecs pas très fufut y’en a partout. ^^
    C’est clair que popol il doit pas faire le malin ^^

  • comme un bateau dérive
    sans but et sans mobile
    je marche seul dans la ville
    tout seul et anonyme

    la ville et ses pièges
    ce sont des privilèges
    je suis riche de ça
    mais ça ne s’achète pa

    et j’m’en fous, j’m’en fous de tout
    de ces chaînes qui pendent a nos cous
    j’m’enfuis, j’oublie
    je m’offre une parenthèse, un sursis

    je marche seul

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